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Rencontre avec Fabien Olicard

Rencontre avec Fabien Olicard
Cet été, j'ai eu la chance et le plaisir de rencontrer Fabien Olicard, comédien, mentaliste, auteur et youtubeur, qui partage sa passion avec humour que ce soit sur scène, sur YouTube ou dans son livre.

Curieux de tout, Fabien Olicard a toujours aimé comprendre les choses, les idées et les gens. Pourvu d'une étonnante mémoire, c'est à l'âge de 8 ans qu'il découvre la magie, ce qui le conduira rapidement vers la psychologie et le mentalisme. Captivant, pédagogue, vif et drôle, il aime transmettre sa passion avec humour, notamment avec sa chaîne YouTube, suivie par plus d'un demi-million de personnes. Après son spectacle "Fabien Olicard vous mentalise", il part en 2017 en tournée avec son nouveau spectacle "Mental Roadage".

Je te découvre en 2014 avec ton spectacle “Fabien Olicard vous mentalise”. Comment t’es venu cet intérêt pour le mentalisme ?
 
C’est une question qu’on me pose souvent et je n’ai pas de vraie réponse parce que “mentaliste” est un mot qui permet d’englober plein de techniques. J’ai toujours été attiré par tous ces trucs de mémoire, de psychologie, etc. et un jour, j’ai mis un mot derrière toutes ces passions-là.
 
Plus généralement, qu’est-ce qui t’a poussé à te lancer dans ce métier ?
 
Le vrai choix de métier, c’est la scène. Le mentalisme est une compétence et une passion. C’était un vrai choix de vie de monter sur scène pour faire rire les gens, et du coup avec ce que j’aime : le mentalisme.
J’ai toujours fait un petit peu de théâtre très amateur dans mon village, au collège, etc., et j’adorais ça. Et puis après est venu le mentalisme : dès que tu fais des expériences pour bluffer les gens, il te faut un public pour le voir. Je l’ai donc d’abord fait en événementiel ou en close-up.
Et un jour, sur un bateau de croisière en Ukraine, je rencontre un mec qui accompagne les gens et qui me dit « si un jour tu cherches un théâtre à Paris, je connais des gens ». Et le théâtre, c’était la Comédie des 3 Bornes. Au départ, le théâtre ne veut pas forcément, j’insiste un peu, ils me demandent une démo, et du coup je fais ça pour deux ou trois dates, mais je n’ai pas trop conscience de ce qu’est un texte, une mise en scène, je fais tout en impro, et ça remplit. C’est à partir de ce moment-là, où cette espèce de blague pour me faire plaisir sur deux ou trois dates prend de l’ampleur et je me dis « en fait, je vais faire ça ». Mais ce n’était pas préprogrammé, c’était plus un hasard qu’une vraie décision.
 
En 2016, tu t’es lancé le défi de publier une vidéo par jour pendant un an. Qu’est-ce qui t’a poussé dans ce challenge ?
 
Parce que c’est un défi de feignant ! Alors, ça n’a pas de sens parce que c’est une par jour pendant un an. Le truc était que je voulais écrire un nouveau spectacle. J’étais hyper inspiré par Louis C.K qui écrit un nouveau spectacle tous les ans. J’avais lu des interviews de lui où il disait « ça t’oblige à aller au plus profond de toi-même et de sortir ce qui est vrai », et j’avais trouvé cela intéressant. Du coup, je me suis demandé ce qui pourrait me stimuler dans la même méthodologie.
Je me dis qu’il faudrait que j’écrive tous les jours, et pour écrire tous les jours, il faut que j’aie un défi public, comme ça je suis sûr de le tenir. Après, je me dis « tiens, faire des vidéos c’est pas mal », même si je n’y connais pas grand-chose à YouTube, ça va m’habituer aussi à la caméra car ce n’était pas mon truc. Je me suis dit que j’allais en faire une par semaine, comme le fait Verino. Mais une par semaine, ça ne marche pas sur moi, parce que comme je suis un peu feignant, avec une par semaine, au bout de trois semaines, je vais me dire « c’est bon, je vais prendre un ou deux jours de plus, c’est pas grave ». Je me suis dit que j'allais en faire une par jour pendant un an et l’annoncer publiquement. Comme j’ai un peu d’orgueil, je ne peux pas ne pas le faire après, ou m’arrêter en cours de route. Le challenge était pour m’obliger à ne pas lâcher, et plus tu t’en imposes, moins tu lâches. Et du coup, c’était un peu magique parce qu'en 30 jours, tu en écris 30, et là tu es hyper stimulé, et ça m’a fait gagner en confiance sur la caméra.
 
Est-ce que tu t’attendais à avoir beaucoup d’abonnés aussi rapidement ?
 
Je n’avais pas d’objectif d’abonnés. Dans l’absolu, je m’étais dit qu'il faudrait qu’il y ait 12000 abonnés avant la fin de l’année. Ça ferait 1000 par mois. Et en fait on a fini l’année à 300.000 je crois. Les 10.000, je crois que je les ai atteints en février.
 
Comment voyais-tu l’évolution de cette chaîne à sa création, et comment la vois-tu aujourd’hui ?
 
Je n’ai pas d’objectif de long terme. A chaque fois que je pense à la chaîne, je me dis qu’il ne faut pas que je m’ennuie. Donc là, par exemple, au moment-même où l’on parle, nous sommes en juillet 2017, je prends une pause d’un mois et demi sur la chaîne pour la reconstruire en septembre. En septembre, je rechange encore les concepts de vidéos, les heures de sortie, la manière de tourner, la caméra, la manière de monter…Et je ne sais pas comment elle sera dans un an parce que, si ça se trouve, dans un an je vais rechanger un petit peu.
Il faut vraiment que ça m’amuse tout le temps, je ne veux pas me renfermer. Par exemple, depuis le mois de janvier on me dit souvent « tu ne fais pas de numéro sur ta chaîne, tu en faisais l’année dernière ». Oui, parce que l’année dernière, il y avait sept vidéos à faire par semaine et là ça m’amuse moins de faire ça donc je fais autre chose. Le but est d’élargir un maximum et de garder toujours un petit lien avec le cerveau et le mental.
 
Du coup, qu’est-ce que YouTube t’a apporté en particulier ?
 
L’aisance. Je parlais de l’aisance sur la caméra, et je la retrouve aussi sur scène. Je me sens beaucoup plus naturel sur scène qu’avant, beaucoup plus libre, à me poser moins de questions. Je me juge moins sur scène et je pense vraiment que ce sont les vidéos qui m’ont fait ça.
Pour la chaîne en elle-même, et le fait qu’elle grossisse, ce que ça m’apporte ce n’est pas que ça m’a ouvert des portes mais que ça en a déverrouillé. Ce n’est pas plus simple de lancer un projet, mais par contre les gens l’écoutent plus facilement. Quand j’ai eu l’idée de faire le livre, par exemple, les maisons d’édition ont été plus à l’écoute que si je n’avais pas eu la chaîne YouTube à ce moment-là. Ça ne voulait pas dire que c’était gagné mais, au moins, on te reçoit et on t’écoute, parce que tu as des gens qui te suivent quotidiennement.
Tu viens de sortir le livre “Votre Cerveau est Extraordinaire”. Comment t’es venue l’idée d’écrire ce livre ?
 
C’est un rêve. J’ai toujours eu le rêve de faire un livre. Par contre, c’était un rêve qui n’avait pas trop de matière. En fait, je n'avais pas trop su ce que j’allais faire, et au mois de septembre-octobre, quand j’ai eu l’opportunité d’avoir contact avec First, ça s’est mis en place, et le rêve devenait réalité.
 
Je me suis dit que j'allais faire quelque chose de cohérent entre la chaîne et le spectacle. J’ai voulu que ce soit le point qui relie un peu les deux. Il sera un peu drôle et un peu bluffant comme le spectacle, mais avec la pédagogie de la chaîne. Donc, le livre est vraiment lié à la chaîne dans sa construction, mais le projet même de faire un livre pour le grand public c’est l’histoire de ma vie.
Tu rodes actuellement ton nouveau spectacle “Mental Roadage”. Quelles sont tes attentes avec ce nouveau spectacle ? Comment le vois-tu par rapport au précédent ?
 
Je voulais arrêter l’ancien spectacle, qui m’a beaucoup amusé mais qui ne me ressemblait plus. Pour le nouveau spectacle, stratégiquement parlant il n’y a pas d’objectif.
J’ai une chance, c’est ce que m’a amené la chaîne YouTube et tout ce qui va autour, c’est-à-dire la liberté de jouer quand je veux et où je veux. Avant je jouais aussi parce que c’était mon métier et que si je ne jouais pas je n’avais pas de revenus. Aujourd’hui la chaîne aussi m’aide à vivre, du coup j’ai moins l’impression de devoir jouer et je retrouve une autre forme de plaisir. Je me suis dit que j’allais lancer le nouveau spectacle, mais il faut qu’il me ressemble et que je parle réellement de ce que j’ai envie de parler aux gens, sans que ce soit non plus une conférence.
Là, je viens de terminer le rodage au mois de juin. Ça a donné un spectacle qui, peut-être, a moins de vannes qu’avant – il est toujours drôle mais il y a moins de vannes qu’avant – et qui est un peu plus pédagogique. Il y a un petit côté « regarde ce que tu es capable de faire toi aussi » en temps réel. Mais force est de constater que ça me ressemble plus et que je suis plus cohérent envers moi-même. Quand j’ai fini le rodage le 30 juin, je me suis dit « ok, j’ai accouché d’un truc, on en pensera ce qu’on voudra mais moi j’en serai hyper content dans le sens où c’est vraiment ce que j’avais envie de faire. »
Continueras-tu toujours de présenter les plateaux d’artistes atypiques “Hallucinations Collectives” ? Est-ce un projet qui reprendra dans les mois à venir ?
 
J’aimerais bien. En fait, je n’ai jamais eu la volonté de l’arrêter ou de le continuer. Le plateau, si je l’ai fait, c’était juste parce qu’il y avait deux créneaux libres en juillet et août 2015 au Grand Point-Virgule et qu’on m’a proposé de faire un truc. Après, comme ça me plaisait beaucoup, je l’ai continué. Le problème est que faire un plateau une fois par mois, ça prend un temps monstrueux à organiser, programmer, remplir, et puis à gérer le jour J. Ce n’était que du pur plaisir à voir sur scène ce que j’aimais, et ça me prenais beaucoup de temps.
Alors, ce n’est pas en projet mais j’aimerais bien le relancer peut-être en 2018. Peut-être moins souvent, une fois par trimestre, mais j’ai adoré faire ça et ce n’est pas mort et enterré. Mais, je ne sais pas encore quand.
 
Et est-ce qu’il y aura une suite à "Humour Magazine" ?
 
En fait, la marque a été rachetée. C’est quelque chose qui était aussi assez chronophage. Je devais juste faire une pause de deux mois sur l’été pour relancer en septembre avec d’autres annonceurs et élargir.
Il y avait neuf pages dédiées au spectacle vivant sur l’ensemble, c’est assez peu. Mais dans le milieu du spectacle, ils l’ont tous considéré comme étant un magazine du spectacle vivant. Ce qui n’était pas le cas parce qu’il y avait neuf pages sur soixante, et il n’y a pas que le spectacle dans l’humour. Mais du coup, eux n’ont pas souhaité annoncer et le spectacle vivant ne l’a pas très bien accueilli.
Par contre, on a eu des gros annonceurs qui arrivaient : d’un côté, ceux que je pensais intéressés pour aider le spectacle n'étaient pas intéressés, et de l'autre, les très gros annonceurs qui ne m’intéressaient pas trop à la base, étaient très intéressés. Sauf que j’étais moins excité à le faire du coup et j’ai eu une proposition de rachat à ce moment-là d’un grand groupe qui a voulu racheter le concept et le magazine. Ce n’est toujours pas sorti en kiosque mais ils l’ont racheté.
 
Tu fais beaucoup de choses…de quelle activité ne pourrais-tu pas te passer ?
 
Ce serait dur de ne plus avoir de contact direct avec les gens. Après, toutes ces activités sont complémentaires, c’est-à-dire que quand je pars en tournée j’adore jouer, et puis en revenant de tournée, j’adore être à la maison pour écrire un livre par exemple, et puis faire la vidéo ce n’est pas ce qui me plaît le plus mais c’est de l’écrire et de la monter. Les activités sont hyper complémentaires. Je le vois sur les séances de dédicaces du livre car ça se transforme en spectacle : je fais des vannes, et mes dédicaces et interviews sur le livre, c’est comme du stand-up en fait !
Du coup, je pense que c’est vraiment le contact avec le public, que ce soit sous la forme des spectacles, des conférences ou des dédicaces. Il y a ce retour direct qui est magique. Je ne pourrais pas le remplacer par autre chose, il n’y a pas de substitut à ça.
 
Et est-ce qu’il y a une autre activité que tu voudrais tenter, que tu as envie de tester ?
 
Il y a un truc que j’adorerais faire, c’est de lancer un concept de Mental Box. J’y ai réfléchis, je ne vais pas me lancer là-dedans, en tout cas pas avant longtemps, parce que c’est très prenant. Mais s’il y a une idée persistante qui me ferait délirer c’est celle-ci. Après, il n'y a pas de nouvelles choses programmées, mais s’il a quelque chose qui m’amuserait c’est de faire une Mental Box. Ça ne serait pas drôle ? Il y a une foule de choses qu’on pourrait faire, j’en suis persuadé.
 
Si tu devais en choisir une, quelle serait ta plus belle expérience, ton projet le plus fou ?
 
Le projet le plus fou ou la plus belle expérience, ça reste le livre. C’est-à-dire que, c’est fou, j’ai joué à L’Olympia, au Québec, sur des grandes scènes comme le Comédia en captation TV, et même avant d’être à Paris je faisais trente pays par an donc j’ai beaucoup voyagé. J’ai fait des trucs incroyables, mais la plus grande expérience et ma seule fierté, c’est d’avoir fait un livre. Aller dans une librairie et voir mon livre, ça me rend dingue. Je ne pense pas que ce soit détrônable par autre chose.
Par exemple, j’ai rencontré Bernard Werber. Je suis fan de ce mec depuis le collège. Il m’a invité chez lui, on a beaucoup discuté, et quand il me traite comme un auteur, je me dis « ce mec, qui est un auteur que j’idolâtre, m’invite chez lui et me parle comme un collègue parce que j’ai fait un livre ».
Tu sembles proche de ton public. Comment vis-tu ces rencontres et ces échanges avec les spectateurs, les abonnés, les lecteurs ?
 
En fait, je vais globaliser avec le mot « communauté ». A chaque fois, le point commun, c’est que j’ai la sensation d’avoir une communauté bienveillante, sympa, intéressante, plutôt âgée car j’ai une communauté plutôt entre 20 et 35 ans, donc à peu près mon âge. Et du coup ce sont des gens qui vont être « des potes », et en fait, ce sont des très bonnes relations.
Par exemple, souvent, on vient me proposer de l’aide pour des choses, c’est incroyable ! Pour avoir parlé avec d’autres créateurs, on va généralement plutôt te prendre quelque chose que de te le donner, et là c’est plutôt « si tu as besoin d’un coup de main, j’ai pu lancer tel projet, je suis là…si tu as besoin d’un coup de main pour un montage, je suis là… ». C’est une relation de « potes » en fait, c’est vraiment très agréable.
 
Est-ce qu’il y a une réaction de cette communauté qui t’a particulièrement touché ?
 
Non, pas forcément. Mais ce qui m’impressionne, c’est leur capacité à attendre deux heures et c’est l’auto-gestion qu’ils ont entre eux. C’est-à-dire que je n’organise pas les dédicaces, je ne fais pas la police, je ne sais pas qui était là avant, ça ne me concerne pas, je me dédouane de ça. Donc ils sont devant moi, un peu en foule, et ça se passe hyper bien, c’est plutôt « non mais tu étais là avant moi…non, c’est à lui…mais attendez, il y a une petite on va la faire passer… ». Et c’est là où je me dis « ils sont champions ! » quand je les vois aussi bienveillants. Ils sont hyper gentils entre eux aussi, ils discutent entre eux, ça m’impressionne et ça me touche. C’est agréable de voir ça.
En fait, le livre, les vidéos et le spectacle, ça créé une communauté qui est raccord avec qui je suis, alors que sur d’autres supports comme la télévision par exemple, ça amène une communauté qui a envie de te voir mais qui n’est pas forcément raccord avec qui tu es et tes valeurs.
 
As-tu une anecdote à nous raconter ?
 
J’ai une belle histoire youtubesque. J’ai créé un nouveau numéro pour le spectacle avec une application : je choisi de faire des devis pour créer cette application car je ne suis pas assez bon pour la créer moi-même. Je contacte du monde, et, à la même période, je reçois un mail d’un mec qui me dit « je fais des applications et je veux en faire une sur la table de rappel, si tu m’autorises à le faire, et si tu veux bien me donner un coup de main pour le contenu ». Il s’appelle Mickael, un abonné, on se rencontre et je l’aide à faire son application. Et à la fin, il me dit « si tu as besoin d’un coup de main pour une appli, je te la fais aussi ». Je lui explique que je suis sur un projet et qu'on me demande une blinde, et lui fait voir le projet et il me dit « c’est une journée de travail, même pas, c’est deux heures. C’est tellement simple, je vais te la faire cette application ». Et il l’a fait, et elle fonctionne.
A cette même période, il me parle de se lancer également sur YouTube et de faire des vidéos. Je lui dis que s’il a besoin de quoi que ce soit, je serais là. Il lance sa chaîne et elle cartonne. Après, on fait une vidéo ensemble, et ça cartonne aussi. La chaîne s’appelle Micode et je crois qu’il a 400.000 abonnés. Il a lancé ça il n'y a pas si longtemps et il a presque autant d’abonnés que moi.
C’est une des belles aventures YouTube, une belle histoire : avoir rencontré un abonné pour l’aider, qui m’aide après en retour, puis je l’aide un petit peu pour lancement de sa chaîne, et il fait une chaîne qui déboîte tout, parce qu’elle est vraiment géniale !
 
As-tu des projets à venir, dont tu es en mesure de nous parler ?
 
Je réfléchis à plein de choses en ce moment, mais je n’ai pas de projet annonçable.
 
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Si tu étais…
 
...un film : Je serai “Pulp Fiction”, pas pour le contenu du film, mais pour la réalisation et le montage. C’est tout dans n’importe quel sens et à la fin ça fait une histoire. C’est un peu l’histoire de ma vie, je n’ai jamais de but réel et au final ça s’emboite bien.
 
...un livre : Je serai un “cahier de brouillon”, parce qu’il y a tout à écrire dedans. Tu peux en faire un bullet-journal.
 
...une chanson : Je pense que je serai une chanson de classique comme “O Fortuna” de Carmina Burana. Car elle est remplie d’émotion et je suis hyper sensible. Par exemple, j’ai été en vacances au Mexique, j’ai vu le Chichen Itza et j’ai pleuré devant. Ça me crée des émotions.
 
...une personnalité / un personnage : Sans en choisir un en particulier, j’aimerais bien être un de ces astronomes qui vivent durant six mois dans une capsule. Ou alors, dans les personnalités passées, d’être Armstrong et d’être le premier homme à marcher sur la Lune. L’espace et l’apesanteur sont des choses qui m’intéressent énormément, me passionnent. Si j’étais une personnalité, j’aimerais être l’une de ces personnalités-là pour vivre l’expérience.
 
...un proverbe / une citation : Je vais en citer une de Georges Brassens : "Sans technique, un don n’est rien qu’une sale manie", car c’est vraiment gâcher son temps de vouloir être bon dans quelque chose où l’on n’est pas forcément destiné, mais de le négliger complètement.
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À propos
Lauriane Cronier

Lauriane, théâtreuse passionnée, met en lumière le monde du spectacle, pour ajouter plus de théâtre à la vie et plus de vie au théâtre.
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